Des petits vélos dans la tête !
Pourquoi ce titre
un peu « fou »?. Je vais vous mettre sur la piste
cyclable ! Ah la grande trouvaille des pistes cyclables, même
Christoph Colomb ny avait pas pensé, ne les avait pas découvertes.
Heureusement que les « écologistes »
( pas les Scientifiques mais ceux qui utilisent lécologie
comme un moyen politicien ) sont passés par là.
Le XIXème
arrondissement est un modèle dincongruité, car installer une
piste cyclable avenue Jean Jaurès, voie rapide, axe rouge cest
faire preuve dune grande lucidité aveugle. Il existe un axe
parallèle, le long du canal de lOurcq, qui se prête mieux à
ce type déquipement. Les voitures ny sont pas les plus
nombreuses, et le cadre y est agréable. Pédaler sur une piste cyclable
ainsi aménagée est un vrai plaisir. En revanche, il faudrait être
fou pour sengager à vélo dans lavenue Jean Jaurès, respirer
à pleins poumons les gaz des voitures, se faire bousculer par les
vélomoteurs pressés, éviter les camions
.
Bien sûr on peut
éviter la circulation motorisée en plaçant la piste cyclable sur le
trottoir, comme cest le cas rue Manin, tant pis pour les enfants,
les piétons
ils nont quà pédaler quel que soit leur
âge. Cest la loi des «écologistes), un point cest tout.
Un autre problème
se pose lorsquil sagit de limiter les voies réservées
aux cyclistes, on y a placé des traits et des boudins de caoutchouc
en demi bûche : un trait une bûche, un trait une bûche, trait-bûche
et le piéton trébuche, car malheur aux malvoyants, aux maladroits
qui passent par là. Messieurs les Dictateurs, Messieurs les Démagogues,
noubliez pas que même si vous pédalez dans la choucroute, il
nen reste pas moins que la Roue..... tourne.
|
La
propreté de nos rues en question
Nous
avons reçu sur notre messagerie le message suivant de Marie-Hélène,
rue Duvergier:
"Bonjour,
Je m'adresse donc à vous pour vous évoquer le problème
de la propreté de nos rues: pas besoin d'insister, tout le
monde est d'accord, nous marchons dans une poubelle, surtout quand
on habite une petite rue tranquille. Le nettoyage est fait quotidiennement
sur les grands axes, mais pas sur les petites rues. Quant aux déjections
canines... Comment éduquer les habitants??
Ce
problème devient crucial, j'ai quasiment honte d'inviter des
provinciaux chez moi. Merci de transmettre à qui de droits,
Bonne année."
|
Un
cri pour la France
"Suite
à la lecture du dernier numéro de votre petit bulletin trimestriel,
j'ai envie de dire ce que j'ai dans le cœur, à propos de ces faux
semblants, et de ces « politiquement-corrects » véhiculés par les
média.
Cessons
de nous voiler la face et osons parler de choses qui vont nous perdent
ou plutôt qui font perdre la France. Notre pays subit aujourd’hui
les agressions de ses enfants adoptés, voire de ses propres enfants.
Le temps est venu de réagir.
On ne peut pas laisser impunément siffler notre hymne national, la
Marseillaise, par ceux la même, qui revendiquent le droit d’être respecté.
Alors ou est il ce fameux esprit de tolérance que ces personnes n'arrêtent
de demander.
Je voudrais savoir si l'ouvrier qui voit sa voiture brûler est prêt
à montré de l’indulgence, pour ceux qui on commis ce délit ?.La seule
explication qu’ils trouvent à leur geste est « On fait ça pour se
faire entendre, auprès des pouvoirs publics. ».Aucune pensée, aucun
regret, pour le travailleur qui pourra pas aller à son boulot, et
qui risque de perdre son travail. Je suis certain qu’ils n y ont même
pas pensés...
Il ne faut pas qu'en France, s’installent des zones de non droit,
car c'est la porte ouverte, au début de la fin. Si les services de
secours s’y font attaquer ou vas t'on ?
Il faut que la force revienne à la loi. Mais pour cela il est nécessaire
que la Police qui fait ce qu’elle peut, ne soit pas découragée par
la Justice qui trop souvent remet en liberté les délinquants, confortant
ainsi, chez ces derniers, un sentiment d’impunité. Les politiques
font des lois pour protéger les victimes et, ce sont les malfaiteurs
qui en profitent. Il est urgent de donner à ces institutions les moyens
matériels, et humains dont elles ont besoin afin qu’elles fassent
leur travail avec envie .
Il y a suffisamment de lois en France pas la peine d’en créer d'autres.
Il suffit simplement de les appliquer.
J’ai
quelques éléments de réponses à proposer aux questions que se posent
grand nombre de nos concitoyens. Ce ne sont peut être pas les bonnes
solutions, mais au moins, j’espère qu’elles contribueront à faire
avancer le débat.
Pourquoi,
dans les magasins, les vigiles sont presque tous, issus de l’immigration
? Car si un français d’origine, devait vérifier le sac d'une personne
qui n'est pas de la même ethnie que lui, cette dernière ne manquerait
pas de l'accuser de racisme, et, tout le monde le croira.
Quand on voit a la télé une mère pleurer son enfant, tué au cours
d’une opération de police, et déclarer que c’était un ange qui ne
méritait pas cela, je comprends tout à fait. Ce que je ne comprends
pas, en revanche, c'est que lorsqu’il est prouvé que cette personne
a commis un vol ou une agression envers les forces de l'ordre, on
se permette d'attaquer en justice le policier qui s’est défendu .
Ce qui m’énerve encore plus c'est que la mort d'un policier soit considérée
comme un simple fait divers et traité comme tel par la télévision.
Aucune image de la famille du malheureux fonctionaaire.Où est l'égalité
de l'information ?
Que font des enfants encore dans la rue à 21h alors qu’ils seraient
plus en sécurité chez eux? Que font leurs parents? Ce n'est pas l'état
de s'occuper de leur éducation, c'est aux parents de leurs apprendre
la politesse, et le savoir vivre.
Tout le monde à le droit de garder ses coutumes, à condition de ne
pas chercher à les imposer à autrui et de respecter les lois de notre
Pays.
Il faut aussi que les gouvernants aient la force et la volonté de
réagir, et ne se contentent pas de faire des calculs politiciens.
Pourquoi ne demandent-ils pas, plus souvent l'avis de la population
? La situation est grave.
Ce n'est
plus un sujet de droite ou de gauche, mais de toute la population.
Il nous appartient de nous prendre en main.
Dans quelques semaines, il y aura des élections, et là il faudra bien
choisir pour qui voter.
Car la France est dans une époque charnière, on est en train de perdre
notre crédibilité internationale. Notre défense militaire est ridiculisée,
lorsque nos hommes sont bloqués a une frontière ou que notre seul
et unique porte-avions reste à quai..
Alors que le reste du monde s’engage à lutter contre le terrorisme
et est sur tous sur les terrains, nos idéologues bien pensants tentent
de nous culpabiliser.
Je demande
à tous ceux qui ne votent pas, de le faire cette année, car s’ils
s’abstiennent, ils n'auront plus qu'une chose à faire c'est celle
de se taire : un homme, une voix….
Pour qu'un Pays fonctionne il faut des lois, mais il faut aussi et
qu’elles soient appliquées. Les qui personnes prétendent qu'il ne
faut plus de lois, qu’il est « interdit d'interdire » Cela ne revient-il
pas à admettre qu’il faut au moins une loi
Il ne faut pas que la France devienne une Nation d'assistés, mais
une force vive.
J'espère
que cette lettre aura fait réagir au moins une personne.
Je vous
remercie de m'avoir lu."
G.P
(Paris XIXème)
|
SNCF
LA LIBERTÉ
Valérie*
est employée dans une grande banque en ligne à Paris. Comme la majorité
de ses collègues, elle habite en grande banlieue, seule solution pour
elle de disposer d'un habitat décent. Les loyers parisiens lui sont
bien évidemment inaccessibles.
Chaque jour, elle utilise les transports en commun pour se rendre
à son travail. Ce trajet lui coûte 1 heure et demie de son temps le
matin et autant le soir pour rejoindre sa maison où elle s'occupera
ensuite de sa famille.
C'est en femme libre que Valérie a choisi de travailler. Nombre de
personnes de son entourage ont, quant à elles, choisi de ne pas travailler
tant les diverses subventions légales à l'inactivité les ont poussées
à refuser un travail pas assez payé et éloigné de leur domicile.
Ces personnes ont pertinemment et logiquement choisi de rester chez
elles.
La liberté a un prix que Valérie paye lourdement ces jours-ci car,
au motif d'une autre liberté appelée le droit de grève, quelques salariés
de la SNCF ont choisi de bloquer les transports publics. Les 3 heures
de transport quotidien se transforment alors en un véritable gymkhana
pour rejoindre son travail dans les meilleurs délais car Valérie ne
peut se permettre d'être absente.
Valérie, d'origine modeste, se sent culturellement un peu solidaire
des salariés qui militent pour améliorer leurs conditions de travail.
Elle sait que les siennes sont difficiles et conçoit que celles des
autres le soient aussi. Ce dernier argument relativise un peu sa galère
devenue quotidienne après 6 jours consécutifs de grève. Liberté
de travailler pour Valérie et Liberté de grève pour les autres.
L'ÉGALITÉ
Ce que
Valérie ignore, ce sont les motifs précis du mécontentement de ses
alter ego du service public.
Elle ignore que les grévistes de la SNCF refusent le plan " Cap Clients"
qui a pour vocation de mettre l'entreprise au service de ses clients.
L'entreprise dans laquelle travaille Valérie a toujours été au service
de ses clients sinon voilà longtemps qu'elle aurait mis la clé sous
la porte.
Elle ignore que les grévistes de la SNCF militent pour maintenir leur
retraite à 50 ou 55 ans, calculée sur les toutes dernières années
d'activité, alors que Valérie ne partira probablement pas en retraite
avant 65 ans et n'a aucune idée de quelle manière sera payée son hypothétique
pension pourtant bien méritée.
Elle ignore aussi que cette retraite à 50 ans ou 55 ans ne peut être
financée par la seule caisse de retraite des bénéficiaires de la SNCF.
Par solidarité, la caisse de retraite du privé, à laquelle Valérie
cotise chaque mois, a l'obligation de combler une partie du trou de
la caisse de retraite publique incapable d'honorer seule ses engagements
sociaux.
Comme cela ne suffit pas, le solde est financé par l'impôt sur le
revenu dont Valérie malgré ses revenus modestes vient de s'acquitter
comme une minorité de Français.
Elle ignore encore que le salaire net qu'elle touchera en fin de mois,
pour 39 heures de travail (bientôt 37 heures et 33 minutes, puis 35)
efficace par semaine, est sensiblement inférieur au salaire moyen
du salarié dudit service public pour des heures de travail effectives
que personne ni même la direction ne sait calculer exactement.
Elle ignore enfin que la direction de la SNCF accordera, comme d'accoutumée,
à ces revendications une fin favorable en augmentant les salaires
conformément à la demande des grévistes et en payant, fort probablement,
les jours de grève.
Valérie, par contre, se verra déduire en fin de mois les heures de
retard qu'elle aura accumulées pendant cette semaine de progrès social.
Ignorer tout cela permet sans doute de mieux accepter cette conception
de l'Égalité ?
LA FRATERNITÉ
Valérie
est fraternelle puisqu'elle paye chaque jour de ses propres deniers
le statut de ce service public.
Cette semaine, elle paye un petit extra qui se traduira sur sa feuille
de paye, par son manque de sommeil, par le stress d'arriver en retard
au travail, puis d'arriver en retard à la maison.
Demain, toujours fraternelle, elle continuera à payer l'addition
lorsqu'elle continuera à travailler pour payer la généreuse retraite
des salariés de la SNCF de sa génération, mais partis 15 ans plus
tôt.
Liberté, Égalité, Fraternité ... nous voilà rassurés, le droit
de grève respecte bien les bons principes de notre République. Il
est donc bien constitutionnel.
Au fait,
Valérie ne travaille-t-elle pas avec vous ?
Si elle travaille avec vous surtout ne lui dites rien de tout cela....
* Le prénom a été modifié.
VIVE
LA SNCF !
Quelques
chiffres à connaître :
- Recettes
annuelles : 57 milliards de F
- Budget
annuel : 118,5 milliards de F
- Subvention
annuelle de l'état : 75 milliards de F (un Crédit Lyonnais tous
les 2 ans avec nos impôts)
- Financement
des retraites : 14 milliards (toujours avec nos impôts)
- Dette
à financer : 232 milliards (SNCF + RFF, l'équivalent du CDR
au Lyonnais)
- Situation
d'un conducteur de TGV :
- Salaire : de 14000 F en début de carrière a 21000 F en fin de
carrière.
-
Plus : prime de fin d'année, prime de travail (restons calme), prime
de parcours, prime de TGV, prime de charbon (vous lisez bien), gratification
de vacances, gratification annuelle d'exploitation, indemnités pour
heures supplémentaires, allocation de déplacement (non imposable),
etc. ...
- Horaire de travail : 25 heures par semaine (vive les 35 heures)
- Retraite à 50 ans
- Soins : gratuits (sur le temps de travail) auprès d'un des 15900
établissements de soins agréés où ils sont couverts à ... 100%
- Autres privilèges : gratuité des transport pour les agents et
leur famille (en première), CE très généreux, ...
- Et : EMPLOI A VIE.
|
Billet d'humeur,
de mauvaise humeur...,
Il y a des évènements qui produisent des mouvements de mauvaise humeur
sur nous et nos concitoyens, en voici un fameux exemple :
Le thème en est :
Vous voulez réaliser une construction de plus de 500 m² (de surfaces
hors œuvre net) sans permis de construire, c'est-à-dire en toute illégalité,
où le faire ?
Nous avons la réponse : A PARIS dans le dix-neuvième arrondissement
sur un site bien connu de tous : Le bassin de la Villette
En ces périodes difficiles pour la construction dans notre pays où règne le principe
de l'intangibilité de l'Etat de droit, les français, les parisiens et
les habitants du XIX ème ont la preuve réelle de la simplification à
l'extrême des autorisations administratives concernant les permis de
construire.
En effet depuis plus d'un an, un bâtiment à usage de hangar
de plus de 500 m², TOUT ROUGE , a été édifié en bordure d'un canal/voie
navigable sans aucun permis de construire sur un terrain appartenant
semble-t-il à la Ville de PARIS.
A priori cette construction a été réalisée
sans qu'au préalable les services administratifs habituels n'aient délivré
une quelconque autorisation de construire.
Tout à chacun peut ainsi
se rendre compte près du bassin de la Villette de la réalité de cette
réalisation pour le moins très disgracieuse dans ce bel environnement.
Cette construction s'inscrira-t-elle définitivement dans ce site remarquable
?
La Ville de PARIS, le Mairie d'arrondissement en ont cure, elles ont
laissé faire sans permis, au prétexte aujourd'hui mensonger qu'il s'agissait
d'une construction dite provisoire.
MAIS, les constructions même provisoires
doivent au préalable faire l'objet d'un permis de construire (surtout
lorsqu'à l'intérieur de celles-ci, il y a lieu de réception du public
- ce qui a été le cas pendant de nombreux mois ! )
Vous avez ainsi tous
sous les yeux, de manière très concrète, l'application d'un principe
bien connu : " Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais !
"
En conclusion, nous n'aurons qu'un seul mot HONTEUX, parfaitement
honteux de méconnaître ainsi le droit et l'application de celui-ci,
les principes de sécurité sur et dans des lieux qui sont le bien commun.
Aux donneurs de leçon des équipes municipales dirigeantes, pour ces
faits un salut teinté de mépris, vous le valez bien comme dit la pub
! |